Voilà trois petites broches trop mignonnes qui résonnent comme un rappel un brin nostalgique de mon enfance. C'est que je les connais depuis toute petite ! Elles étaient à ma mère, qui me les a données il y a quelques temps. En bois peint, a priori 70's, elles ont ce charme désuet des petits riens qui vous ravissent par le souvenir qu'ils réveillent...
J'avais chipé le petit indien depuis un bail. Je l'aime beaucoup, ses couleurs, son dessin...il réveille parfaitement une tenue trop sage, et fait merveille sur une petite robe noire.
Ce petit chat semble prêt à inventer une nouvelle bêtise. Je ne l'ai pas encore porté, mais je l'imagine bien sur du vert bouteille ou du bleu marine...
Quant à la dernière, la petite alsacienne, elle semblait toute indiquée pour moi, qui regrette souvent mon Alsace natale !
Ces trois petites broches n'ont de valeur que le souvenir qu'elle réveillent en moi...et je les chéris comme autant de témoignages de mon enfance. Je les garde jalousement, protégées dans une petite pochette, ne les sortant que rarement, mais savoir qu'elles sont là est suffisant à me donner le sourire.
Qu'est-ce que je peux être attachée à certains objets, c'est dingue ! Et vous ? Vous avez aussi des petits objets "doudous" qui vous replongent en enfance, et dont vous ne vous sépareriez pour rien au monde ?
J'en ai plein des objets "doudous" qui viennent de mon enfance! Je les ai tous réunis dans un petit carton, genre "mes trésors d'enfance" qui ne valent chers que pour moi! J'ai notamment gardé des boucles d'oreilles années 70 appartenant à ma mère que j'ai trouvé très moches pendant des années(mais je les gardais...?) et maintenant je les adore! Mon favori est la montre de communion de ma mère (années 50) que je porte très souvent.
RépondreSupprimerMoi aussi j'ai un rapport particulier aux objets, à leurs histoires, c'est même parfois un peu étouffant car j'ai du mal à jeter! J'ai perdu beaucoup de membres de ma famille prématurément, et le fait de conserver leurs objets, meubles, vêtements,... me donne l'impression de garder une parcelle de ses proches près de moi. Freud adorerait!